On est foutu pour vivre et ensuite crever, quelle vaine . Tape toi la tête contre un lave vaisselle . Fais bouilloner tes neuronnes, déjà assez défoncée à force de sniffer . Secoue les , secoue les encore une fois . Avale ta ranceur et crache ton dégoût .

Tu peux surmonter cette blessure. Sur ton lit tes yeux ne se voient pas. Mais je suis près de toi. Le son de ton cœur ne répond pas. Les gardiens de tes nuits, à présent. Ton visage est ancré en moi. Les larmes se font froide.

Elle raconte sa vie comme si elle avait que sa à foutre de ces journées.

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